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L’effet de Serre et le Changement Climatique

L’histoire du Changement Climatique

Red insect at Kirigini Park, Australia and Greenhouse. Image by Information for Action

La physique démontrant la théorie de l’effet de serre n’a été bien connu qu’après un siècle de recherche.

Le sujet n’a cependant était connu, par la plupart des gens, qu’à partir de la fin des années 1980. La plupart des pionniers de la théorie de l’effet de serre sont : Sir Crispin Tickell (Climate Change and World Affairs 1986), Stephen Schneider (Global Warming, 1989), Fred Pearce (Turning up the Heat, 1989), John Gribbin (Hothouse Earth, 1990), Jim Hansen (Climate Change 2005) and James Lovelock (The Revenge of Gaia 2006).

En 1988, Jim Hansen de la NASA Goddard Institute of Space Studies a prévenu le sénat des Etats-Unis, des dangers du réchauffement climatique. En 1989, le climatologiste Sir Crispin Tickell soutient la formation de l’Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC).Sous la présidence du professeur Bert Bolin, le IPCC a commencé à rassembler des informations et à construire des modèle qui étaient la base pour les prévisions des climats futures. Les scientifiques anglais, Lord May et Sir David King ont été de puissants avocats pour l’action sur le changement climatique.

Le changement est une part naturelle de l’histoire géologique et pendant des millions d’années la Terre a subi beaucoup de différents climats extrêmes- réchauffements climatique et les âges de glaces. La plus récente des périodes de réchauffements, s’est produite il y a 55 millions d’années, au début de la période géologique nommée Eocène et elle a duré pendant 200000 ans.

En contraste avec cette longue période, la civilisation humaine a seulement existé pour une période relativement courte. Notre histoire s’est terminée avec une période géologique relativement chaude depuis la dernière période glacière, 12000 ans plutôt, et nous nous sommes adaptés à cet environnement.

Les températures de la Terre, dans le passé ont toujours été en relation avec la concentration du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Un haut niveau de dioxyde de carbone a été associé au réchauffement climatique et un faible niveau de dioxyde de carbone à un rafraîchissement du climat. Dans les précédentes périodes géologiques, le réchauffement climatique pouvaient être causé par la libéralisation des gaz à effet de serre provenant des volcans. Ce qui est inhabituel dans le réchauffement climatique actuel, est que nous en sommes la cause.

La concentration des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, en particulier le dioxyde de carbone, augmente. Il y a environ 200 ans sa concentration dans l'atmosphère était 250 parts par million (ppm). Maintenant, elle est de plus de 380 ppm. Elle augmente, de façon de régulière, à un taux d’environ 0.3 - 0.4% par an et est susceptible de dépasser 550 ppm dans les décennies à venir. Selon l'IPCC, 500 ppm, représentent un réchauffement d’environ 3°C. Puisque le dioxyde de carbone est chimiquement inerte, l’Homme a crée des excès qui ne sont pas consumés par la photochimique ou les processus chimiques dans l’atmosphère. Si rien n'est fait, l'Agence européenne pour l'environnement prévoit que la concentration de dioxyde de carbone pourrait augmenter à 1.350 ppm en 2100

La plupart des scientifiques qui connaissent le sujet, acceptent le changement climatique comme un fait. Il a aussi été pris, assez sérieusement par la plupart des gouvernements mondiaux qui ont crée un traité international, connu sous le nom du protocole de Tokyo, à appliquer.

Combattre les causes du changement climatique signifie de grands changements dans notre façon de conduire l’activité économique. Ceci est perçu comme une menace par la plupart des entreprises, donc ii lys beaucoup de résistance politique contre l’application des mesures appropriées. Quelques pays refusent encore de signer le protocole de Kyoto, notamment les Etats-Unis qui sont de loin les plus grands producteurs de gaz à effet de serre dans le monde.

Les gouvernements américain et australien, n’ont pas signé ce protocole, car ils ont une grande réserve de charbon et veulent continuer à utiliser les usines fonctionnant grâce à celui-ci. Les Etats-Unis, ont assez de réserves de charbon pour les 250 prochaines années pour une consommation au niveau actuel. Ils disent que les stations de charbon sont plus propres qu’il n’y parait car elles n’émettent pas de sulfure de dioxyde et d’autres polluants, cependant elles produisent encore la même quantité de dioxyde de carbone.

A la place, les USA et l’Australie participent au partenariat Asie-Pacifique pour un développement et un climat propre qui a été établi en janvier 2006. Ce partenariat inclus les grands pays industrialisés comme le Japon et la Corée du sud et les 2 puissances montantes, la Chine et l’Inde. L’attention sera portée plus précisément sur le commerce des technologies. En contraste avec le protocole de Kyoto, il n’y a pas de control d’émissions de gaz prévu. Les plus septiques, disent que les fonds attribués au développement de nouvelles énergies (telles que les énergies renouvelables) ne sont pas suffisants.

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