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La Mondialisation

La Mondialisation – Histoire

Après la seconde guerre mondiale l’Organisation Internationale du Commerce (OIC) à décidé de libéraliser le commerce international. En 1947, l’OIC a établi un accord général sur les taxes et le commerce (AGTC ou GATT : General Agreement on Tariffs and Trade). C'était d’abord, un accord conçu pour limiter des augmentations des tarifs frontaliers, mais des décennies après, son but a changé en réduire des taxes et l'OIC est devenu le porte-parole pour la libéralisation de commerce international.

Depuis 1947 il y a eut huit « cycle » de négociations commerciales qui à chaque foi refoulait progressivement les tarifs et augmentait réduction tarifaire pour inclure la santé, l'agriculture et l'environnement. La dernière série de négociations, le cycle d'Uruguay 1986 -1994 a mené à la formation d'une organisation commerciale plus puissante, l'Organisation mondiale du commerce (OMC), et augmenté la portée du GATT, pour inclure des règles sur les droits de propriété intellectuelle, l'investissement et les services.

Le but de l’OMC est de faciliter l’échange commercial entre pays en effaçant les barrières tarifaires et d’agir comme un médiateur entre les pays quand un problème d’ordre commercial surgit. L’OMC est une organisation intergouvernementale, basée à Genève, en Suisse. Elle est constituée de 149 pays membres. Chaque membre est obligé de traiter les autres membres de façon égale, et de traiter le commerce local avec les mêmes règles que le commerce étranger.

Les décisions commerciales sont prise par l’OMC, qui favorise les grandes compagnies ce qui a un impact négatif sur les gens, l’environnement et les économies locales aussi bien dans les pays développés qu’en voie de développement.

Les blocs de commerce, les compagnies transnationales et les organismes de pressions et une coalition des importantes entreprises, sont au premier rang dans l'incitation aux négociations continues sur un accord de libre-échange. Ils ont des relations avec les hautes sphères du gouvernement et des milliards de dollars à leur disposition. Trois des plus grands groupes de pressions aux USA sont, the International Chamber of Commerce (ICC), the Transatlantic Business Dialogue (TABD) and Business Roundtable

Quand ils ne sont pas au pouvoir, beaucoup de politiciens travaillent directement pour ces compagnies transnationales, comme conseillers ou dans leur conseil d'administration. Cependant, quand ils sont au pouvoir, ils travaillent aussi pour ces compagnies, mais indirectement. Par exemple jusqu'à l'an 2000 le vice-président des USA, M. Dick Cheney, était à la tête d’Halliburton Oil.

D'autres groupes de pression en Europe, incluent le réseau/forum de services d'Européen (RSE/FSE) et la table ronde européenne des industriels (TRE). En Australie il y a : Le Conseil d'affaires de l'Australie, la table ronde australienne d'affaires, de la chambre de commerce australienne (ACCI), l'association de libre entreprise et le groupe d'industries australien.

Les compagnies incitant à la libéralisation économique sont : Caterpillar (équipement lourd) ; Boeing (avion) ; Cargill (agriculture) ; Citibank (finances) ; Ford, General Motors, Toyota, Renault, Fiat (fabricants de voiture) ; Motorola (matériel de transmissions) ; Halliburton, Phillips pétrole, Exxon, TotalFinaElf, BP, Royal Dutch/Shell, Esso (huile) ; Microsoft (logiciel) ; Monsanto, Aventis (biotechnologie) ; Unilever, Dow, ICI, Hoffmann-La Roche, Siemens (produits chimiques) ; et Chevron, Marconi, Lufthansa, Nokia, Carlsberg, Royale Philips Electronics, IBM, Olivetti, Ericsson and Kodak.

Les USA avec le Canada et le Mexique comme NAFTA, le Japon et les autres économies asiatiques du tigre comme ASEAN, et l’Europe occidentale comme UE, sont les blocs de commerce les plus puissants dans le monde.

Au cours de toutes les discussions tenues jusqu'ici, la priorité a presque toujours était donné au commerce plutôt qu’à l’environnement. C'est parce que ceux qui bénéficient le plus du commerce et qui ont le plus à perdre des lois protégeant l'environnement, ont un grand pouvoir financier pour influencer les décisions prises par les gouvernements. Les compagnies transnationales ont uniformément bloqué les négociations sur un protocole de sécurité biologique pour contrôler les organismes génétiquement modifiés et les négociations sur le changement climatique.

La conférence des ministres de l'OMC, tenue à Seattle, en décembre 1999, n’a pas eu lieu, en raison de l'opposition des PVD et des protestataires des groupes de société civile, en dehors de la conférence. Beaucoup de PVD se sont plaints de l'intimidation et du manque de démocratie, dans les processus de négociation. Beaucoup d’activistes ouvriers, fermiers, des droits de l'Homme et environnementaux ainsi que des chefs religieux et indigènes, ont participé à la protestation et à des séries d'autres protestations qui ont suivi la conférence de Seattle.

Des conférences de ministres de l'OMC sont tenues tous les deux ans. La quatrième était à Doha, au Qatar en 2001, la cinquième était à Cancun, au Mexique en 2003 et la sixième à Hong Kong, en Chine en 2005. Toutes les fois, les conférences de l'OMC, se sont produites dans des pays où les protestations sont légales et donc l’afflux de personnes a été massif.

À l'ordre du jour pour cette série de négociations, le soi-disant « développement round » : l'expansion de l'accès de entreprises à plus de marchés, de procédures d'investissement, de marchés publics de fournitures et de politique de la concurrence.

Les protestations contre l'OMC, le Fonds monétaire international (FMI), la banque mondiale (BM), le forum économique du monde (FEM) et la zone de libre-échange des Amériques (le FTTA), ont aidé mettre les problèmes, comme la mondialisation des entreprises, à l'ordre du jour public. Beaucoup de protestataires sont contre ces organismes et les entreprises, parce qu'ils sentent que leurs politiques sont directement responsable des dommages causé à l'environnement et de la douleur humaine. Les protestataires de sentent également désespérés parce que les médias contrôlés par ces entreprises, suppriment les reportages montrant la raison de ces protestations pour, uniquement se focaliser sur la violence d’une minorité de protestataires qui se développe.

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